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Un guide pour les villes : Prévenir la haine, l’extrémisme et la polarisation

Dernière mise à jour :
30/01/2025
Date de publication :
11/09/2023
Type de contenu :

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En matière de prévention, les villes devront s’attaquer à des questions délicates et difficiles. Le renforcement de la cohésion sociale peut être source de divisions, et les interventions nécessiteront souvent une communication consciencieuse ainsi que l’instauration délibérée de la confiance et du consensus afin d’éviter la stigmatisation et de limiter les divisions autour des questions litigieuses. Ce chapitre explore certains des problèmes difficiles qu’une ville peut rencontrer en matière de prévention et présente certaines approches adoptées par des villes du monde entier pour les résoudre. Les sujets mis en évidence ci-dessous sont loin d’être exhaustifs, mais ils figurent parmi les principales questions soulevées par les villes consultées dans le cadre de ce guide. Il s’agit des sujets suivants

S’engager auprès des groupes historiquement marginalisés ou difficiles à atteindre

L’exclusion et la marginalisation constituent un terreau fertile pour la haine, l’extrémisme et la polarisation et rendent les groupes concernés particulièrement vulnérables. Bien que cela en fasse des groupes cibles importants pour la prévention secondaire, il est généralement plus difficile pour une ville de les impliquer, car une volonté accrue de s’engager de la part de la ville peut se heurter à des barrières de la part des groupes affectés. L’exclusion devient souvent un processus à double sens : si un groupe est constamment marginalisé au fil du temps, il peut s’auto-exclure et rechercher ses propres mécanismes de soutien en dehors des services fournis par la ville. La confiance risque d’être extrêmement limitée, s’il y en a une. Les villes consultées dans le cadre de ce guide ont fait part de trois enseignements clés en matière d’engagement auprès des groupes historiquement exclus ou marginalisés.

La ville de Gdánsk, en Pologne, a créé le Centre de Gdańsk pour l’égalité de traitement afin d’offrir aux groupes exclus un espace sûr et des services spécialisés pour améliorer leur sentiment de sécurité et le soutien de la ville. Le centre a été créé en partenariat avec sept organisations non gouvernementales spécialisées dans le travail avec les personnes socialement exclues. Il offre ainsi un « guichet unique » réunissant divers prestataires de services en un seul lieu physique : « ce vaste réseau de lieux de soutien dans la ville soutient les personnes victimes de discrimination et de violence en raison de leur identité, de leur âge, de leur handicap, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, de leur religion, de leur non-confessionnalisme, de leur appartenance ethnique ou de leur nationalité ». Il s’agit de la première action de ce type en Pologne financée par les autorités locales.

Trouver un équilibre entre l’immigration, les réfugiés et autres nouveaux arrivants et la cohésion sociale

Les villes sont des lieux où de nouvelles personnes arrivent en permanence ; leur diversité et leur croissance peuvent constituer un atout précieux dans la construction d’une société respectueuse, tolérante et inclusive. Dans le même temps, le défi que représente l’accueil d’un grand nombre de personnes ou la réponse à des crises soudaines liées aux réfugiés ou aux déplacements peut solliciter les services et les ressources et créer des problèmes d’intégration et de cohésion sociale, en particulier lorsque les rancœurs s’accumulent, que les tensions augmentent et que les situations instables sont manipulées ou attisées par ceux qui sèment la division et la haine ou qui attisent la polarisation en diffusant de la désinformation et des récits de conspiration. Voici quelques enseignements clés tirés de l’expérience des villes dans la gestion de ces difficultés :

Considérations relatives au soutien de la cohésion sociale et à l’accueil des nouveaux arrivants : Exemples de villes

Communication et traitement de
Désinformation et désinformation

Bilbao, en Espagne, consacre une section à la « sensibilisation et à l’impact social » dans son troisième plan de ville interculturelle, qui reconnaît qu’aucune stratégie d’intégration ou d’inclusion n’est complète sans efforts pour lutter activement contre toutes les formes d’intolérance et de discrimination. Le plan s’engage donc à mener des campagnes de sensibilisation et de prise de conscience (via les médias sociaux et traditionnels) pour dissiper les récits anti-migrants et promouvoir la tolérance et les « récits positifs » sur les « avantages de la diversité ».

La ville a également produit un documentaire et des publications pour souligner les rôles clés des migrants (en particulier des femmes migrantes) dans l’enrichissement de la ville, en les présentant comme des « professionnels, des leaders, des penseurs, des politiciens et des entrepreneurs », et en s’attaquant ainsi aux récits anti-migrants qui prétendent qu’ils ne font que peser sur le paysage social et économique d’une ville (au lieu d’y contribuer).

Anna Valencia, secrétaire municipale, Chicago (IL), États-Unis

La ville de Chicago, dans l’Illinois, aux États-Unis, collabore avec les acteurs locaux pour former un front uni dans l’accueil des migrants et des réfugiés et pour lutter contre la désinformation.

Soutien

Bratislava (Slovaquie), a mis en place un centre de crise pour soutenir et intégrer les nouveaux réfugiés ukrainiens. Le centre coordonne les ONG locales, la police locale et les agences nationales afin de fournir une aide substantielle pour faire face à la crise.

La ville de Columbus, dans l’Ohio, aux États-Unis, a lancé la New American Initiative pour aider les réfugiés et les immigrants qui s’installent à Columbus à avoir un accès immédiat aux services et aux programmes de la ville afin de les aider à s’installer plus rapidement dans leur nouveau foyer et à devenir des « résidents productifs et équitables ».

Lviv (Ukraine) abrite 250 000 personnes déplacées à l’intérieur du pays et en a accueilli jusqu’à 600 000 à différents moments depuis l’invasion de la Russie en février 2022. Ces réfugiés ont fui la guerre et nombre d’entre eux ont subi des blessures et des traumatismes psychologiques qui nécessitent un soutien spécialisé à grande échelle. Pour relever ce défi, la ville a créé UNBROKEN, un « écosystème unique d’humanité qui réunit plus d’une douzaine de projets […] à l’adresse[ing]. Il s’agit d’une variété de services comprenant le traitement, les prothèses, la réadaptation physique et psychologique, le logement et la réintégration ». Parmi ces projets figure le Centre national de réhabilitation Unbroken, qui a traité plus de 15 000 blessés, dont 2 000 enfants.

Intégration

Lviv (Ukraine) abrite 250 000 personnes déplacées à l’intérieur du pays et en a accueilli jusqu’à 600 000 à différents moments depuis l’invasion de la Russie en février 2022. Ces réfugiés ont fui la guerre et nombre d’entre eux ont subi des blessures et des traumatismes psychologiques qui nécessitent un soutien spécialisé à grande échelle. Pour relever ce défi, la ville a créé UNBROKEN, un « écosystème unique d’humanité qui réunit plus d’une douzaine de projets […] à l’adresse[ing]. Il s’agit d’une variété de services comprenant le traitement, les prothèses, la réadaptation physique et psychologique, le logement et la réintégration ». Parmi ces projets figure le Centre national de réhabilitation Unbroken, qui a traité plus de 15 000 blessés, dont 2 000 enfants.

La ville de Weißenfels, en Allemagne, intègre les immigrés grâce à une approche innovante connue sous le nom de « Weißenfels Way ». Cette initiative vise à favoriser l’inclusion en impliquant activement les immigrants dans la vie locale, en mettant l’accent sur l’éducation, l’apprentissage de la langue et les possibilités d’emploi. Elle encourage la collaboration entre les immigrés et la communauté locale, notamment par des programmes de mentorat et des échanges culturels qui contribuent à combler les fossés sociaux. Les autorités locales travaillent également en étroite collaboration avec les écoles, les entreprises et les organisations civiques pour veiller à ce que les immigrants aient accès aux services et aux ressources qui favorisent leur intégration. Le Weißenfels Way vise à créer un environnement harmonieux et multiculturel dans lequel les immigrants peuvent participer et contribuer pleinement à la communauté.

Travailler avec les migrants et les réfugiés

Koboko, en Ouganda, est une ville frontalière qui accueille un grand nombre de réfugiés congolais et sud-soudanais. Dans le passé, la ville a connu des tensions et des violences entre les communautés locales et les réfugiés, en partie dues à l’impact de l’évolution démographique sur les infrastructures essentielles et l’accès aux services, ainsi qu’à des litiges concernant les terres attribuées aux réfugiés.

Pour relever ce défi, Koboko a pris les mesures suivantes:

  • Elle a d’abord fait un effort explicite pour définir les préoccupations et les besoins des réfugiés et des communautés d’accueil.
  • Elle a ensuite utilisé sa cartographie des besoins pour élaborer et mettre en œuvre un certain nombre de projets axés sur l’intégration des réfugiés dans tous les aspects de la ville : social, économique, culturel, etc. Il s’agissait notamment de construire un centre de traumatologie offrant un soutien psychosocial aux réfugiés, ainsi que des écoles, des marchés et des installations sanitaires supplémentaires afin de garantir à chaque réfugié l’accès aux services de base.
  • Pour soutenir cet effort, la ville a ensuite proposé une formation à l’entrepreneuriat et un soutien sous forme de capital d’amorçage afin d’aider les réfugiés à créer leur propre entreprise et ainsi à contribuer au marché du travail local et à s’y intégrer.

Il est important de noter que, tout au long de ces efforts, la ville a mis l’accent sur l’inclusion en veillant à ce que les services et le soutien soient offerts de la même manière aux réfugiés et aux résidents de longue date.

Sousse, en Tunisie, un centre urbain côtier prospère, a connu un afflux important de migrants internes des zones rurales vers les zones urbaines, aggravé par une augmentation récente du nombre de nouveaux arrivants. Cet afflux de nouveaux arrivants a mis à rude épreuve la capacité de la ville à fournir à tous ses habitants les éléments de base de la vie, y compris un logement adéquat. En conséquence, l’émergence de logements informels, les taux élevés d’abandon scolaire et le chômage dans ces zones défavorisées sont devenus une préoccupation urgente.

La ville a mis en œuvre un certain nombre d’initiatives pour relever ces défis et s’assurer que les nouveaux arrivants et les résidents de longue date bénéficient des services dont ils ont besoin. Tout d’abord, Sousse s’est associée à l’OIM et à l’Office national de la famille et de la population pour déployer une unité mobile capable de fournir un soutien immédiat et pratique aux communautés qui comptent un grand nombre de migrants, et de les sensibiliser aux services et au soutien (à la fois par le gouvernement local et par l’OIM en tant que partenaire international) qui leur sont offerts.

Le partenariat avec l’Office national de la famille et de la population a également permis d’élaborer des ressources sur la migration à l’intention des nouveaux arrivants et des prestataires de services. Cela inclut la création d’un mécanisme d’orientation, d’une « feuille d’accompagnement » qui indique les agences/parties prenantes responsables des différents types de services offerts aux migrants.

Par ailleurs, la ville a lancé des campagnes de sensibilisation visant à dissiper les récits anti-migrants et a mis en place un« bureau d’orientation des migrants » qui sert de ressource dédiée à l’intégration sociale. La ville de Sousse a également plaidé avec force pour que le gouvernement national reconnaisse et soutienne le rôle des gouvernements locaux dans la gestion des défis migratoires, ce qui lui a valu le titre de« Ville solidaire, avec les migrants, les réfugiés et les demandeurs d’asile« .

Gestion des manifestations et équilibre entre la liberté d’expression et la sécurité publique

Le droit humain fondamental de protester et de défier l’autorité peut être sapé et abusé par ceux qui attisent la haine, l’extrémisme et la polarisation et qui visent à mettre en œuvre ou à inciter à la violence. En tant que sites de protestation et parfois cibles directes, les villes sont confrontées à ces défis, en particulier lorsqu’ils sont appliqués à des rassemblements physiques et à des manifestations. Travaillant en étroite collaboration avec les gouvernements centraux et la police, les villes sont souvent tenues d’identifier et de maintenir l’équilibre subtil entre la liberté d’expression et la sécurité publique.

L’article 5 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) constitue un point de référence clair et simple : « Aucune disposition du présent Pacte ne peut être interprétée comme impliquant pour un État, un groupement ou un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés reconnus dans le présent Pacte ou à des limitations plus amples que celles prévues dans le présent Pacte ». L’article stipule que les droits d’un individu ne s’étendent pas au droit de porter atteinte aux droits d’autrui, ce qui indique où la limite est franchie et où la sécurité publique peut être menacée dans le cas d’une protestation ou d’une manifestation.

La gestion des rassemblements organisés et l’ouverture de la communication avec les organisateurs, ainsi qu’avec ceux de toute contre-manifestation, doivent être poursuivies dès le départ, et les lignes de dialogue et de négociation doivent être clairement établies. Cet engagement doit définir les attentes en matière de comportement et expliquer la raison d’être de l’activité. De même, l’engagement communautaire et la sensibilisation doivent être menés avec tous les groupes concernés par la manifestation, y compris tout groupe spécifique ciblé par les manifestants.

Les villes doivent être conscientes des groupes qui pourraient profiter de la marche ou de la manifestation prévue pour faire avancer leur propre agenda, y compris via les médias sociaux.

Les autorités locales doivent être conscientes des risques que les contre-manifestations peuvent engendrer, ce qui souligne la nécessité d’éviter que les deux événements ne se déroulent à proximité l’un de l’autre. En ce qui concerne le maintien de l’ordre, les villes consultées estiment que l’objectif est que les forces de l’ordre n’aggravent pas la situation et que, par conséquent, même si la présence visible de la police doit être limitée lors d’une marche, la police doit être sur place en cas de problème.

Réponse à la crise

Les villes investissent dans la prévention dans l’espoir d’être moins exposées à la violence et aux attaques et incidents liés au terrorisme. Mais ils doivent aussi reconnaître que le pire peut arriver et être prêts à réagir. Réagir après un attentat et soutenir les victimes du terrorisme ou de crimes de haine nécessitent anticipation et préparation.

Dans le cas d’une attaque terroriste à grande échelle, certains considèrent que la formation est d’une utilité limitée : la plupart des praticiens seront formés à un moment donné, pour un événement qui peut avoir lieu des années plus tard, voire ne jamais se produire. Lorsqu’ils doivent réagir, il se peut qu’ils aient complètement oublié leur formation ou qu’ils soient (et c’est compréhensible) trop stressés ou immobilisés pour réagir de manière adéquate ou suffisamment rapide. Les exercices et les simulations sont souvent considérés comme des formes de formation plus utiles, que ce soit sur table ou en situation réelle. Il s’agit notamment d’établir des réseaux et des liens entre les praticiens, les agences et les institutions concernés par la réponse, de convenir des rôles et des responsabilités de chacun et de tester la coopération dans différents scénarios. Pour plus d’informations sur la formation et le renforcement des capacités en général, voir le chapitre 7.

La préparation doit avoir lieu en temps de paix et non en temps de crise. En cas d’incident, les villes doivent disposer de plans et de procédures de gestion de crise déjà en place. De préférence, ces plans et procédures doivent être formalisés et mis à jour régulièrement. La ligne de commandement doit être claire, même si les agences gouvernementales nationales sont susceptibles de prendre l’initiative dans un cas particulier.

Immédiatement après l’incident, et en fonction de celui-ci, le rôle d’une ville peut se limiter à fournir un soutien logistique et des installations adéquates. En outre, la diffusion de communications publiques claires, d’avis de sécurité publique et la prise de contact avec les communautés constitueront probablement un domaine de soutien. Un rôle distinct pour les maires et les dirigeants locaux peut également être approprié (voir Strong Cities Guide du maire pour en savoir plus). L’aide aux victimes doit être disponible le plus tôt possible pour atténuer l’impact à long terme et doit couvrir tous les domaines nécessaires : médical, psychologique, social, juridique, administratif, financier, etc. Ce soutien doit être fourni autant que possible par des professionnels qualifiés, compte tenu de l’importance et de l’ampleur des dommages potentiels.

Après la crise, les villes sont confrontées à des responsabilités permanentes en matière de résilience, de commémoration et de prévention renouvelée. Il est alors essentiel d’écouter toutes les victimes et de leur permettre de prendre elles-mêmes des décisions clés dans certains domaines (par exemple sur la construction d’un site commémoratif). La reconstruction est un processus de longue haleine et les communautés locales peuvent rester affectées pendant des années après un attentat.

Enfin, les villes sont chargées d' »aider ceux qui aident » en protégeant et en sauvegardant les praticiens et les intervenants locaux, à commencer par leur propre personnel. Ils doivent offrir des soins et un soutien, y compris des services de santé mentale, en fonction des besoins. Certains praticiens devront probablement être incités à demander de l’aide, car ils ne se rendent peut-être pas compte de l’impact psychotraumatique de l’incident.

Pour en savoir plus, consultez Strong Cities Boîte à outils de réponse des villes fortes.

Communication et traitement de
Désinformation et désinformation

À la suite de la tragique fusillade survenue à la faculté des arts de l’université Charles à Prague, en République tchèque, en décembre 2023, le gouvernement local, en coordination avec les autorités nationales, a pris plusieurs mesures pour renforcer la sécurité et améliorer les mesures de réaction en cas de crise.

  1. Communication de crise : La réponse immédiate des autorités locales et nationales a consisté à mettre en place des lignes téléphoniques d’urgence pour les personnes touchées et pour le public à la recherche d’informations. À la suite de la fusillade, le gouvernement s’est engagé à améliorer les protocoles de communication en cas d’urgence. Il s’agit notamment de fournir des mises à jour plus rapides pendant les crises en cours et d’intégrer plus étroitement les écoles dans le cadre d’intervention d’urgence de la ville.
  2. Soutien psychologique: La ville et les institutions gouvernementales nationales ont mis en place un service d’intervention psychosociale pour soutenir les familles des victimes et les survivants, offrant une assistance 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
  3. Renforcement de la protection des cibles molles: Les équipes de crise de la municipalité et des universités de Prague ont discuté de nouveaux protocoles de sécurité, tels que l’installation de boutons d’alarme, de systèmes de communication pour les urgences à l’échelle du campus et de procédures de verrouillage améliorées. Il a également été question d’intégrer des technologies de sécurité avancées, notamment des systèmes de détection des coups de feu dans les principaux établissements.
  4. Intégration des services d’urgence: La coordination des interventions d’urgence a été une priorité et, pour garantir des interventions encore plus rapides à l’avenir, une meilleure intégration des systèmes de communication entre les services d’urgence, y compris les forces de l’ordre, les pompiers et les services d’ambulance, ainsi que les universités, est à l’étude.
  5. Renforcement de la sécurité dans les écoles: Le gouvernement local, en collaboration avec le ministère de l’intérieur, a commencé à mettre en œuvre des mesures de sécurité renforcées pour les cibles vulnérables, notamment les universités et les écoles. Ces mesures comprennent la réalisation d’audits de sécurité de tous les bâtiments universitaires, l’amélioration des systèmes de surveillance et le renforcement du contrôle d’accès aux établissements d’enseignement. Les écoles sont désormais tenues de désigner un responsable de la sécurité chargé d’assurer la coordination avec les forces de l’ordre et les autres intervenants d’urgence en cas de crise potentielle.

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